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depuis la construction du BPC Mistral
30 décembre 2013

Novembre 2013
BPC Mistral au bassin

Remerciements Jean-Louis Venne
17 octobre 2013
La France accueille la conférence
annuelle des commandants de forces aéromaritimes de réaction rapide de
l’OTAN

Source web
5 octobre 2013
3 octobre 2013, un exercice amphibie inter-armées de grande ampleur a
démarré sur la plage du Débarquement au Dramont, à Saint-Raphaël.
L'occasion, pour le 21e RIMa basé à Fréjus, d'entamer la dernière phase
de validation de ses VHM (Véhicule haute mobilité). Le régiment
fréjusien est le seul, en France, à posséder ces véhicules de dernière
génération en mode amphibie.
Plus de 50 véhicules, dont ces fameux VHM, et près de 350 soldats ont
participé à l'embarquement des véhicules et des troupes à bord du BPC
"Mistral", bâtiment de projection et de commandement (BPC) de la Marine,
pour un débarquement plage de La Nartelle, à Sainte-Maxime.

Reportage complet photos /
Lien web
2 octobre 2013
Extrait cols Bleus du 5 octobre 2013

En savoir plus et commande /
Lien web
23 au 26 septembre
Exercice Gabian

© SM Sébastien LAURENT Marine nationale
Photos / Facebook Marine nationale
19 septembre 2013
Exercice à venir du 1er au 3 octobre
2013

Source / Défense.gouv.fr
18 septembre 2013
L’exercice d’entrainement mutuel et
trimestriel « Gabian » aura lieu du 23 au 26 septembre au large des
côtes de Méditerranée.
Durant quatre jours, des manœuvres
aéronavales seront effectuées par plusieurs bâtiments. Elles seront
ponctuées d’actions dans l’ensemble des domaines de lutte militaire en
mer : lutte anti-aérienne, lutte au-dessus de la surface, lutte
anti-sous-marine.
Cet exercice, organisé au profit des unités de la Force d’Action
Navale basées à Toulon, a pour objectif de compléter l’entrainement
des équipages des bâtiments non déployées ou n’étant pas en
période
d’entretien.
L’exercice « Gabian » regroupe ainsi tous
les bâtiments de combat disponibles et participe à la préparation
opérationnelle de leurs équipages en haute mer.
Les bâtiments participant à cet exercice
seront les suivants :
- Frégate Jean Bart (organisation et
bâtiment coordinateur de l’exercice)
- Frégate Forbin
- Frégate La Fayette
- Frégate Cassard
- Frégate Guépratte
- Frégate anti sous-marine Jean de Vienne
- Chasseur de mines Capricorne
- Bâtiment de projection et de commandement Mistral
- Bâtiment de commandement et de ravitaillement Var
- Aviso Commandant Birot
- Aviso Enseigne de vaisseau Jacoubet
Source Marine Nationale
10 juillet 2013
Présentation par le commandant du BPC
Mistral et vidéos
Le SM Chauveau, détecteur à bord du BPC Mistral
Le MP Mercier, chef du secteur vivres à bord du BPC Mistral
Le SM Desveaux, manœuvrier à bord du BPC Mistral
Le QM Ouchache, secrétaire-médical à bord du BPC Mistral
L'EV Chapouthier, officier chef de quart à bord du BPC Mistral
13 juin 2013
Exercice Gabian

Source web
29 mai 2013
Extrait journal de bord

Source web

Source web
28 mai 2013
Défilé à Paris pour le 14 juillet !

Source web
2 mai 2013
Extrait Cols bleus du 4 mai 2013

7 avril 2013
Fin mission corymbe
Le 7 avril 2013, le Task Group (TG) 451.02, composé du bâtiment de projection
et de commandement (BPC) Mistral et de l’aviso Lieutenant de Vaisseau Le Hénaff
a achevé le 119e mandat de la mission Corymbe. Dorénavant, c’est la frégate
anti-sous-marine (FASM) Latouche-Tréville qui patrouille dans le Golfe de
Guinée.

Source web
3 avril 2013
Escale à Mindelo (Cap vert) du Bâtiment de projection et de commandement (BPC)
"Mistral" , du 30 mars au 3 avril 2013.

Source web
3 avril 2013
Communique

Source web
26 mars 2013
Durant son escale à Conakry, le Mistral a effectué une action civilo-militaire
en faveur des habitants de l'île de Kassa / Aménagement d'un puits, visites
médicales gratuites, pose d'une plaque commémorative.
Les autorités militaires guinéennes, le Commandant du Mistral, l'ambassadeur de
France Bertrand Cochery et la presse ont reçu un accueil très chaleureux des
habitants de Kassa
Reportage photos /
Lien web
A l’occasion de son escale à Conakry le 26 mars , le BPC Mistral a acheminé du
matériel pour les pompiers de Conakry
Reportage photos /
Lien web
15 mars 2013
Le bâtiment de projection et de commandement (BPC), Mistral effectuera, du 16
au 20 mars 2013, une escale prévue de longue date dans le port de Lomé, a appris
jeudi soir, l’Agence Savoir auprès de l’ambassade de France à Lomé.
Source web et complément / Communiqué
Ambassade
Mars 2013

Rencontre avec un bâtiment anglais

Source web
15 mars 2013
Dans le cadre du projet ASECMAR visant à garantir la sécurité maritime dans
le Golfe de Guinée, deux bâtiments de la marine française, l’aviso LV LE HENAFF
et le Bâtiment de Projection et de Commandement MISTRAL mèneront une mission de
soutien à la marine béninoise du 8 au 20 mars 2013.
Source web et compléments
15 mars 2013

Source web et compléments
4 au 7 mars 2013
Dans le cadre de son déploiement en zone Corymbe, un exercice amphibie a été
mené par le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral, l’aviso
Lieutenant de Vaisseau Le Hénaffet les forces françaises au Gabon (FFG).

Source web et compléments
Journal de bord - Lien web
2 mars 2013
Communiqué Marine Nationale
Du 18 au 23 février 2013, le bâtiment de projection et de commandement (BPC)
Mistral a mené diverses activités de coopération lors de son escale à Pointe
Noire, en République du Congo.

Source web
15 février 2013
Extrait journal de bord / Escale au Cap du 5 au 11 février 2013
.../...

Source web et compléments
7 février 2013
Exposition
A compter d’aujourd’hui, le Musée de la Marine de Toulon, en partenariat avec la
Marine nationale, propose au public une exposition spectaculaire, si ce n’est
avant-gardiste.
En effet, deux films en relief stéréoscopique, visibles depuis un écran 3D sans
lunettes, seront projetés sur les thématiques respectives de la projection de
forces et la projection de puissance. L’un se déroule à bord d’un Bâtiment de
Projection et de Commandement (BPC) et l’autre à bord du porte-avions Charles de
Gaulle. De plus, une pyramide holographique présentant deux maquettes de
bâtiments de la Marine – un sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) et un Bâtiment
de Projection et de Commandement (BPC) – est mise en place pour le plaisir des
yeux.
Cette exposition hors du commun est ouverte au public tous les jours jusqu’au 4
mars 2013, de 10h à 18h, sauf le mardi. Son accès est gratuit pour les
militaires et personnels du ministère de la Défense ainsi que les moins de 26
ans.
Tarif adulte : 6€
Tarif réduit : 4,5€
Source Facebook / Défense Méditerranée
5 février 2013
Au large de Captown (photo extraite
de ce
site web)

5 février 2013

Source web
25 janvier
Annonce d'une éventuelle escale du BPC Mistral à Captown
Source web
22 janvier 2013
Extrait interview Ministre de la
Défense
Pouvez-vous nous confirmer que le bâtiment de
projection et de commandement (BPC) Mistral, basé à Toulon, a joué
un rôle majeur dans l'opération menée pour libérer l'otage Denis
Allex en Somalie ?
L'opération était d'une extraordinaire complexité
et nous savions qu'elle serait difficile. Mais il était pourtant de
notre devoir d'intervenir et, hélas, deux de nos agents y ont laissé
leur vie. Leur base était en effet le Mistral. Mais je n'en dirai
pas davantage…. La confidentialité de ces opérations clandestines
nous interdit de communiquer sur les procédures retenues, c'est la
condition sine qua non pour garantir la sécurité de nos agents
employés dans ces actions à hauts risques.
Source web
13 janvier 2013
Presse / source Le Point
Important / Cela
n'engage que l'auteur de cet article
L'opération conduite par la DGSE pour tenter de libérer l'otage
Denis Allex est l'une des plus énormes que l'armée française ait
conduites ces dernières années. Outre la DGSE, elle a impliqué le
COS (commandement des opérations spéciales) et les trois armées.
Elle a été préparée durant des mois et a été conduite dans un tempo
d'enfer et un secret absolu. L'action finale a été décidée
lorsqu'une conjonction d'éléments naturels favorables a été réunie :
il fallait que la lune, donc "l'obscure clarté qui tombe des
étoiles", la marée et la météo soient conformes aux besoins. Le
récit que nous faisons de cette opération a été nourri de
témoignages et d'éléments publics qui ont révélé leur pertinence
après l'opération, dont nous n'avons pas pu connaître le nom. Bien
des éléments demanderont d'autres confirmations, mais voici ce que
nous sommes en mesure d'écrire aujourd'hui.
Opération depuis la mer
L'opération a été conduite depuis la mer. Dans l'océan Indien, au
moins deux navires naviguaient de conserve : la frégate antiaérienne
Chevalier Paul et le bâtiment de projection et de commandement
Mistral. À bord de ce dernier, de nombreux hélicoptères, dont six
ont participé au raid conduit par une cinquantaine de commandos du
service action.
La flottille d'assaut était précisément composée de quatre
hélicoptères EC-725 Caracal appartenant pour les uns au groupe
aérien mixte 56, l'unité aérienne du service action de la DGSE, et
pour les autres au commandement des opérations spéciales (COS). Ces
hélicoptères d'assaut solidement armés étaient appuyés par deux
hélicoptères de combat EC-665 Tigre du COS.
Six hélicos, appui américain
Officiellement, l'opération française est restée purement nationale.
Nous allons voir que la réalité est un peu différente. Mais nous
avons reçu confirmation qu'aucune demande d'autorisation de survol
ou d'atterrissage n'a été demandée à un quelconque pays de la
région.
En
revanche, un appui a été proposé - ou demandé par la France - par
les militaires américains, sous la forme d'un avion (au moins)
servant de "piquet radio" pour assurer les transmissions entre le
poste de commandement installé sur le Mistral positionné très loin
au-delà de l'horizon et les hélicoptères envoyés vers la localité de
Bulomarer.
Des mois de secret absolu
Cette opération est préparée depuis des mois. On imagine aisément le
temps nécessaire pour déployer en secret depuis la métropole des
moyens aussi lourds, qui ont sans doute transité par une base
française dans la région (Abu Dhabi, où François Hollande doit se
rendre en début de semaine, ou Djibouti). Nous avons découvert
dimanche matin qu'une lecture attentive et préalable des sites
officiels des navires impliqués dans le raid aurait pu nous mettre
la puce à l'oreille.
En
effet, depuis Noël, les escales de ces navires avaient été annulées,
ils avaient été placés en position "Incon rouge" (Information
contrôle rouge), ce qui a eu pour conséquence de couper les
relations internet de l'équipage, ses liaisons téléphoniques avec
les familles et même l'accès à l'intranet des armées. Seuls les
commandants des navires avaient accès au téléphone. Mais pour le
reste, black-out. Certains marins n'ont compris qu'après l'annonce
du raid, samedi matin, pourquoi le Chevalier Paul et le Mistral
avaient "disparu du scope" !
Incertitudes
Sur
l'opération elle-même, nous n'avons que peu d'informations
nouvelles. Selon nos sources, le soldat mort avec certitude est un
lieutenant spécialiste du maniement des explosifs et du déminage.
Quant au militaire "disparu", la DGSE pense qu'il n'est plus en vie.
Une source connaissant bien l'affaire explique : "Il y a eu des
échanges fournis. Quand les groupes sont retournés aux hélicos, l'un
d'entre eux manquait." La probabilité qu'il soit mort est tenue pour
crédible. Notamment parce que, s'il avait été blessé, il aurait pu
activer le dispositif de localisation et de détresse qu'il portait
sur lui.
Concernant Denis Allex, une source de confiance croit savoir que
"lorsque les assaillants sont arrivés auprès de lui, ils l'ont
trouvé entouré de deux hommes, qui l'ont emmené de force dans une
autre pièce, avant que ne retentisse le bruit d'une rafale de fusil
automatique. D'où la conviction que l'otage a été tué, traduite par
la formule du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian qui
expliquait samedi : "Tout donne à penser que [l'otage] Denis Allex a
été abattu par ses geôliers." De source autorisée, on émet un doute
sur notre version des faits : "Cette relation est un peu
cinématographique. Les choses se sont passées de façon plus rapide,
plus basique."
Et maintenant ?
L'opération a été montée le plus sérieusement du monde et son compte
à rebours avait été entamé sur ordre de François Hollande voici plus
d'une semaine. Elle s'est traduite par un échec, comme cela peut
arriver dans une guerre. Mais la DGSE traumatisée est plus décidée
que jamais. Si le doute sur la mort de Denis Allex et du commando
venu pour le libérer subsiste, les services secrets français - qui
en ont vu d'autres - ne lâchent pas l'affaire. Question de principe.
Source web
3 janvier 2013
Extrait Journal de bord
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