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   2008 / Partie 2

 

24 mai 2008 / Cols Bleus

Remerciements Dominique Duriez

 

28 mai 2008

Article Presse / Var Matin / LA MARINE EN PREMIERE LIGNE !

Séisme meurtrier en Chine, cyclone dévastateur en Birmanie... les catastrophes naturelles, et leurs cortèges de victimes, font malheureusement les gros titres ces dernières semaines.

Pour pouvoir appliquer, le moment venu, le droit d'ingérence si cher au ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, la Marine nationale s'entraîne de plus en plus souvent à mener des opérations à caractère humanitaire.

Ce devait être le cas du Mistral qui, avant de faire route vers le delta de l'Irrawaddy pour porter secours aux victimes du cyclone Nargis, devait participer, aux côtés de la marine indienne, à l'exercice Varuna, un entraînement aux opérations de secours aux populations sinistrées.

Suivant le même principe, la France et le Maroc participent depuis le 15 mai, et jusqu'au 31, à l'exercice Chébec. Cette simulation d'opération d'assistance aux victimes d'un tremblement de terre se déroule à proximité immédiate de Marseille.

Y sont engagés, côté français, le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre, la frégate « néotoulonnaise » Germinal, un Super Frelon et un Panther de la Marine, de même qu'un Puma de l'armée de l'air. Enfin, les équipes sauvetage-déblaiement du bataillon des marins pompiers de Marseille et des sapeurs pompiers des Bouches-du-Rhône, ainsi que les moyens médicaux du même bataillon de marins pompiers de Marseille.

Alors que côté marocain, participent à l'exercice, la frégate Hassan II, son hélicoptère Panther et son équipe d'assistance embarquée.

Après les reconnaissances aériennes de rigueur, et les premières actions de secours, l'exercice Chébec consistera à évacuer et à traiter les victimes à bord des différents navires engagés.

P.-l. P. Var-Matin / Source Web

 

 

31 mai 2008 / Article Cols Bleus

Remerciements Dominique Duriez

 

6 juin 2008 / Meretmarine

Le bâtiment de projection et de commandement Mistral ne viendra pas au Havre mi-juillet pour la cérémonie de parrainage avec la cité portuaire normande. Motif ? La flotte doit faire des économies sur ses frais de soute. Tout comme les pêcheurs et les routiers, la Marine nationale est, elle aussi, touchée par la hausse du prix du carburant. Les budgets prévisionnels tablant sur un cours du pétrole nettement plus bas, les marins ne parviennent plus à reconstituer leurs stocks. Concrètement, la fin de l'année s'annonce difficile et, à défaut de crédits, la Rue Royale n'a d'autre solution que de sabrer dans le programme d'activité de ses navires. « Il faut adapter le budget carburant pour 2008 à l'augmentation des coûts. Cela nous conduit à sacrifier des missions dont le caractère opérationnel, d'entrainement ou de représentation est moins crucial », explique-t-on à l'état-major de la marine.
Des annulations d'activités, plus ou moins importantes, sont ou seront donc décidées pour économiser au maximum le combustible et limiter les prélèvements dans les stocks stratégiques. La venue du Mistral au Havre, qui aurait impliqué un long transit aller-retour depuis Toulon, est la première à faire les frais de ces restrictions. Mais elle n'est pas la seule. Le déploiement de la frégate De Grasse, qui devait partir deux mois aux Etats-Unis cet été, a lui aussi été annulé. Pour ce bâtiment et son sistership, le Tourville (actuellement en mission dans le Grand Nord), le problème de la consommation énergétique est très sensible. Construites à la fin des années 70, les deux frégates disposent d'une propulsion articulée autour de turbines à engrenages et de chaudières, nettement plus gourmande que les motorisations des navires plus modernes. Raison pour laquelle elles seront les premières à être remplacées par les nouvelles frégates multi-missions (FREMM) à l'horizon 2012.

Source Web

 

 

L'Alsace

14 juin 2008

Une "grosse centaine" de soldats français ont été affectés à une base logistique de soutien aux forces djiboutiennes déployée après une série d'incidents frontaliers avec l'Erythrée, a annoncé aujourd'hui samedi l'état-major des armées à Paris.

"Nous avons monté dans le nord de Djibouti, en retrait de la zone des combats, une base logistique avancée qui fournit du carburant, des vivres et des moyens de transport au profit des forces djiboutiennes", a déclaré à l'AFP le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck.

"Une grosse centaine de soldats pris sur les effectifs de la base de Djibouti y sont affectés tandis qu'une force terrestre de combat, également issue de la garnison française, se tient prête à intervenir si nécessaire", a-t-il ajouté.

Liée par un accord de défense avec Djibouti, la France dispose à Djibouti de sa plus importante base militaire permanente à l'étranger forte de 2.900 militaires.

"Il n'y a pas de participation directe aux combats pour le moment, aucun renfort n'est attendu de France", a dit le commandant Prazuck.

Toutefois, a ajouté une source proche du dossier interrogée par l'AFP, "une participation directe serait envisageable en vertu des accords de défense entre la France et Djibouti si la situation se dégradait fortement".

Quant aux moyens navals français supplémentaires attendus dans la région, il s'agit, toujours selon l'état-major, de la frégate Surcouf qui fait route vers Djibouti. D'autres navires français sont éventuellement disponibles, comme le bâtiment de projection et de commandement Mistral ou l'aviso Jacoubet.

Le ministère de la Défense avait indiqué jeudi que la France apportait une aide logistique, notamment médicale, à Djibouti, ainsi que des renseignements militaires.

Des échanges de tirs nourris ont eu lieu mardi entre troupes érythréennes et djiboutiennes à Ras Doumeira, à 120 km au nord de la ville de Djibouti.

Ils ont fait neuf morts dans les rangs des forces armées djiboutiennes, selon le haut commandement militaire djiboutien. L'Erythrée n'a fourni aucune indication sur ses pertes.

La tension entre les deux voisins était très forte depuis une incursion, le 16 avril, de troupes érythréennes vers Ras Doumeira. Les deux pays se sont opposés à deux reprises en 1996 et 1999 pour cette zone.

Source Web

 

26 juin 2008 / Meretmarine

Le Mistral de retour à Toulon demain

Le bâtiment de projection et de commandement Mistral devrait retrouver sa base varoise demain. Le BPC avait appareillé le 28 mars de Toulon, en compagnie de la frégate Dupleix, pour un long déploiement qui l'a conduit jusqu'au Japon et en Chine. Au cours de cette mission, il a notamment acheminé 1000 tonnes de fret humanitaire en Thaïlande, une aide destinée aux populations birmanes sinistrées par le cyclone Nargis.
La Marine nationale dispose actuellement de deux BPC, un chiffre qui pourrait être porté à quatre au cours de la prochaine décennie.

Source Web

 

5 juillet 2008 / Cols bleus

 

 

 

   

Remerciements Dominique Duriez

 

4 juillet 2008 / La Voix du Nord

Remerciements Dominique Duriez

 

Article Presse / Var Matin / 18 juillet 2008

Remerciements Jean-Louis Venne 

 

2 octobre 2008 / Le BPC Mistral en cale sèche pour une intervention sur un propulseur

Le Bâtiment de Projection et de Commandement Mistral est entré lundi au bassin, à Toulon. Ce passage en cale sèche, qui durera jusqu'au 13 octobre, porte notamment sur une intervention au niveau d'un propulseur d'étrave. Celle-ci est était prévue de longue date mais son caractère non urgent a permis à la marine et à DCNS d'attendre une date plus favorable au niveau de l'occupation des bassins Vauban.

Source Meretmarine

 

24 octobre 2008

Article Presse LE MARIN / Hors série - Navires militaires / Page 4-5

Extrait Interview Amiral Forissier

Source Web

 

5 novembre 2008

La Marine Russe s'intéresse au concept BPC Mistral  / Article complet : ICI

 

6 décembre 2008

Article Presse / Télégramme de Brest

Défense. Un troisième BPC mis en chantier ?

La relance passe aussi par la Défense. Hervé Morin a indiqué, hier, que la contribution de son ministère au plan de relance économique, annoncé jeudi par Nicolas Sarkozy, était de 2,325 milliards d’euros. 500 millions seront alloués à un réglement rapide des factures du ministère vis-à-vis des PME, 245 millions permettront la remise à niveau du patrimoine immobilier. Le reste sera injecté dans l’industrie française, et notamment dans le secteur des constructions navales. Des commandes pourraient être accélérées ou avancées, comme celle de la mise en chantier d’un troisième BPC (Bâtiment de projection et de commandement), qui rejoindra le Mistral et le Tonnerre. Le BPC, c’est le couteau suisse, le bateau polyvalent interarmes. Son coût : de l’ordre de 400 millions d’euros. Le troisième BPC, c’est encore, selon certaines sources, à confirmer. Ce serait une bonne nouvelle pour la Marine, pour DCNS, bien sûr, et la sous-traitance. Le Mistral et le Tonnerre ont été construits à Brest et Saint-Nazaire. Le troisième pourrait suivre le même chemin.

 

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