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2007

 

Partie 1   /  Partie 2

 

Février 2007 / Source ICI

 

EXENAU BPC 07

 

L’exercice d’entraînement de PC opération baptisée EXENAU 2007 s’est déroulé en février 2007, pour la première fois sur le Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) Mistral de la Marine nationale.

La version 2007 de cet exercice avait pour objectif non seulement d’entraîner le PC de force mis sur pied par l’EMIA-FE et renforcé pour l’occasion de personnel provenant de différentes armées, mais aussi de valider le concept de Poste de commandement de Niveau Opératif Embarqué (NOE) en utilisant, comme moyen de projection et poste de commandement, le BPC Mistral.

Cette dernière capacité a été examinée dans des domaines aussi variés que ceux de l’infrastructure (il s’agissait de vérifier que celles du BPC répondaient aux besoins de fonctionnement autonome d’un état-major embarqué), de l’information ( il s’agissait de contrôler la possibilité, pour l’état-major embarqué de PC de force, de gérer l’information entrante et de diffuser les ordres) et de l’environnement (il fallait s’assurer de la possibilité, pour l’état-major embarqué de PC de force, de travailler quelle que soit la situation de veille ou d’action du bâtiment).

 

BPC Mistral

 

Le PC Force

embarqué

sur le Mistral

 

 

 

Le général de division aérienne RENARD (FR), commandant l’état-major interarmées de force et d’entraînement (EMIA-FE), était le directeur de l’exercice, tandis que le général de brigade aérienne HENDEL jouait le rôle de commandant de la force (COMANFOR).

Le BPC : un outil de projection et de commandement d’un nouveau genre

A bord du Mistral, 250 stations de travail SICA avaient été déployées ainsi que cinq SAMGD (Station Aménageable Mobile de Grandes Dimensions) embarqués spécialement pour l'exercice afin de tester leur compatibilité avec l’infrastructure de bord. Les effectifs engagés dans cet exercice d’un nouveau genre étaient de 350 environ, plus l’équipage du BPC.

Imposants par leur taille et leur silhouette de petit porte-avions, les deux BPC dont dispose la Marine nationale se différencient nettement, en terme de " performances amphibies ", des autres bâtiments dont elle dispose. Les conditions d’accueil et de logement des troupes sont d’un standard très élevé et la taille des différents hangars qui permet de transporter (hors radier) un volume de matériel, de véhicules et d’équipements plus de trois fois supérieur celui qu’offre les TCD actuels. Enfin, le dimensionnement du hangar hélicoptères et du pont d’envol, avec ses six spots, permet d’envisager une mise en œuvre massive d’hélicoptères et donc de privilégier la projection par la troisième dimension.

Avec l’arrivée du BPC Mistral, le service de santé de la force d’action navale va disposer, pour la première fois à la mer, d’une capacité de traitement et d’hospitalisation de blessés pouvant être assimilée à celle d’un hôpital de campagne multidisciplinaire.

C’est l’application du concept de " sea basing ".

Ainsi, le Mistral pourra accueillir simultanément huit blessés en réanimation et dispose de deux blocs opératoires, de sept lits de soins intensifs, et surtout de 62 lits d’hospitalisation qui peuvent être portés à plus d’une centaine.

Ces capacités hospitalières, conçues spécifiquement pour le soutien des opérations amphibies, pourraient également être mises au service des actions humanitaires de la France.

L’exercice EXENAU 2007 mettait donc en œuvre au niveau opératif (théâtre), un PC de force (CJTF HQ / EMIA-FE) comprenant des renforts venus d’autres armées françaises. Des représentants des pays de l’Union européenne disposant également d’un PC de force européen avaient été également invités à participer à l’exercice (Allemagne et Italie).

Le scénario se déroulait au cœur d’un immense archipel situé au milieu de l’océan Atlantique et composé de six pays fictifs. Des " country books " reprenaient un à un ces pays, pour en fixer toutes les caractéristiques influant sur la manœuvre (météo, routes, population, institutions…).

Pour conduire l’exercice, la direction de l’exercice disposait :

- d’une direction de l’animation comprenant des cellules spécialisées (animation " haut " et " bas ", simulation de l’environnement, …) ;

- d’une équipe d’analyse et d’évaluation ;

- d’une cellule d’accueil des visiteurs et autorités ;

- de moyens de soutien (centre d’accueil, véhicules, santé, …) confiés à la Base navale de Toulon.

Durant les quinze jours qu’ont duré l’exercice (dont quatre jours en mer), l’état-major opératif a pu tester ses procédures, mené sa manœuvre, parallèlement aux activités quotidiennes du BPC, dont quelques exercices d’alerte qui sont venus ponctuer le quotidien. Au final, une moisson d’enseignements tirés, qui seront utiles pour les engagements à venir de l’EMIA-FE .

   

Février 2007 / Source ICI

 

EXENAU BPC 07

 

Le 13 février 2007, le général d’armée Jean-Louis Georgelin, chef d’état-major des armées, s’est rendu sur le BPC MISTRAL à l’occasion de la visite du général d’armée Henri Bentégeat, ancien chef d'état-major des armées et actuel président du CMUE (1). Ce dernier était accompagné d’une délégation composée d’une trentaine d’officiers européens, délégation placée sous les ordres du général de corps d'armée Jean-Paul Perruche (France), directeur général de l’EMUE (2).

Après avoir été accueilli par le commandant du BPC et avoir eu un rapide briefing du général de division aérienne Renard, commandant l’EMIA-FE, la délégation a visité le bâtiment, passant un long moment au sein du PC NOE (niveau opératif embarqué) au sein duquel l’EMIA-FE menait son exercice annuel EXENAU. Cet exercice qui vise à faire travailler un état-major interarmées de niveau opératif dans des conditions proches de la réalité se déroulait pour la première fois à bord du bâtiment de projection et de commandement MISTRAL. L’objectif était également de vérifier la compatibilité entre les contraintes liées à la manœuvre et celles propres à la vie en mer du bâtiment.

 

 

Le général d'armée Georgelin visite le PC Force

 

 

Tampon souvenir

Lien source : ICI

 

15 février 2007

Le Ministre de la Défense organise des "stages" armée. Pour Catherine Procaccia, ce fut un stage de découverte...

Catherine Procaccia, Sénateur du Val-de-Marne

Sénatrice du Val de Marne

Elle a passé 3 jours sur le "Mistral", tout nouveau navire de la Marine qui est intervenu pendant l'été 2006 au Liban pour évacuer les ressortssants français. Il peut embarquer hélicoptères, barges de débarquement et un etat major inter-armes. Pendant son "stage" se déroulait d'ailleurs un exercice regroupant 250 officiers des 3 armes.

Source Web

 

21 février / Le BPC Mistral à Brest en juin pour 4 à 7 mois de travaux / Source : ICI

Le Bâtiment de Projection et de Commandement Mistral reviendra à Brest début juin. A l'issue de l'exercice amphibie Skreo avec l'armée de Terre, qui se déroulera au large de la Charente, le BPC retrouvera son chantier de construction. Il s'agit, comme pour son sistership le Tonnerre, de réparer les sols défectueux de la partie avant, réalisée à Saint-Nazaire. Les planchers souffrent d'un problème au niveau du ciment de ragréage, des décollements ayant été constatés lors de sa traversée de longue durée, au printemps dernier. Si, initialement, le Mistral était moins touché que le Tonnerre, l'utilisation intensive du bâtiment depuis sa livraison il y a un an et notamment à l'été lors de l'opération Baliste au Liban, n'aurait pas arrangé l'état des sols. Par conséquent, le chantier, prévu pour durer environ quatre mois, pourrait en fait, selon certaines sources, s'étaler sur 27 semaines. Le temps imparti pour les travaux fait, toujours, l'objet de négociations entre la Marine nationale et DCN, maître d'oeuvre du programme BPC. Lorsque le second navire sera réparé, l'ex-Direction des Constructions Navales devrait se retourner contre Alstom, à l'époque propriétaire des Chantiers de l'Atlantique, lequel se retournera à son tour contre son ancien sous-traitant, responsable de la pose des planchers. Outre le coût des réparations, estimé à plusieurs millions d'euros, DCN envisage de réclamer des dommages et intérêts pour la perte d'image subie dans cette affaire. Les problèmes de planchers du Tonnerre ont, en effet, entraîné un retard de 8 mois de la livraison du bâtiment.


Le groupe français fonde de grands espoirs à l'export avec le BPC, notamment en Australie où il est actuellement en compétition avec Navantia.

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