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2008

Spécial Birmanie

 

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Partie 5

 

Interview du Commandant du Mistral en Thailande

 

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29 mai 2008

Branle-bas à 5h15 ce matin pour les marins du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Mistral . A 6h, c’est déjà le poste de manœuvre. Le Mistral doit décharger en quelques heures à Phuket, en Thaïlande, 1000 tonnes de fret humanitaire à destination de la Birmanie. A quai à 7h, les marins ne perdent pas de temps et commencent à décharger leur cargaison, prise en charge à terre par un représentant du programme alimentaire mondial. Pour accélérer la manœuvre, même la grue du BPC a été mise à contribution. Actuellement, le déchargement du fret est terminé. Le BPC a quitté Phuket et fait route vers la Malaisie.

Source Marine Nationale

 

Le commandant du Mistral, l'ambassadeur de France et l'attaché de défense

Le commandant du Mistral, l'ambassadeur de France et l'attaché de défense

 

 

6 juin 2008 / AFP

Après Paris, Washington ordonne à ses navires de quitter les côtes birmanes

La semaine dernière, un bâtiment de la marine française, Le Mistral, avait également abandonné son projet de décharger 1.000 tonnes d'aide humanitaire directement en Birmanie et n'avait eu d'autre choix que de faire route vers la Thaïlande pour confier sa cargaison au Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU.

Les autorités birmanes se sont montrées extrêmement tatillonnes sur les questions de souveraineté et plus que méfiantes à l'égard des Occidentaux qu'elles soupçonnent de chercher à déstabiliser le pays avec leurs "navires de guerre".

"Au cours des trois dernières semaines, nous avons tenté à au moins quinze reprises de convaincre le gouvernement birman de permettre à nos bâtiments, hélicoptères et navires de débarquement de fournir des secours supplémentaires à la population de Birmanie", a déclaré l'amiral Timothy Keating, chef de l'US Pacific Command.

"Mais (les généraux birmans) ont à chaque fois refusé" et "il est temps que le groupe (dirigé par) l'USS Essex se tourne vers sa prochaine mission", a-t-il ajouté dans une déclaration relayée par l'ambassade des Etats-Unis à Bangkok.

Plusieurs avions de transport américains resteront en Thaïlande au cas où ils seraient requis par des organisations d'aide internationales, mais les quatre navires quitteront la zone jeudi, tout en ayant la possibilité de retourner vers la Birmanie si la junte change d'avis, a précisé Timothy Keating.

Les quatre navires américains --l'USS Essex, l'USS Juneau, l'USS Harpers Ferry et l'USS Mustin-- étaient positionnés depuis le 13 mai en dehors des eaux territoriales birmanes. Outre leurs équipages réguliers, ces bateaux transportent 1.000 "Marines", 14 hélicoptères, 15.000 conteneurs d'eau et du matériel de purification susceptible de produire des dizaines de milliers de litres d'eau potable par jour.

"Je suis à la fois attristé et frustré, alors que nous étions en position de contribuer à alléger les souffrances de centaines de milliers de personnes et à limiter des pertes de vies supplémentaires, mais nous n'avons pas été en mesure de le faire en raison de la position implacable de la junte militaire en Birmanie", a conclu l'amiral Keating.

Le cyclone Nargis, qui a ravagé de grandes régions du Sud birman les 2 et 3 mai derniers, a fait au moins 133.600 morts ou disparus, selon un bilan officiel.

Les Nations unies estiment que 1,1 million de personnes sur les 2,4 millions de sinistrés n'ont reçu aucune aide internationale plus d'un mois après le cataclysme.

La plupart de ces rescapés se trouvent dans le delta de l'Irrawaddy, région qui a été totalement fermée aux étrangers jusqu'à une visite du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, les 22 et 23 mai.

Des organisations d'aide ont signalé depuis quelques progrès dans l'ouverture de la Birmanie aux humanitaires étrangers, tout en soulignant que ces avancées sont insuffisantes.

France Hurtubise, porte-parole de la Croix Rouge et des sociétés du Croissant Rouge, a indiqué à l'AFP que six expatriés entreraient pour la première fois mercredi dans la région du delta.

"Pour le tsunami (en décembre 2004 dans l'océan Indien), nous avions eu 300 expatriés en moins d'un mois", a-t-elle comparé.

Par ailleurs, un responsable de l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) s'est inquiété mercredi des retards pris dans le repiquage du riz dans de vastes secteurs de l'Irrawaddy, considérée comme le "grenier à riz" de la Birmanie.

"De nombreuses zones sont encore vides et les paysans ne sont toujours pas revenus en raison du manque d'abris et de nourriture", a dit à Bangkok M. Hiroyuki Konuma, représentant adjoint de la FAO dans la région.

Source Web

 

 

 

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